NAISSANCE : France 1655
MARIAGE : 16 mars 1680 à St-Paul, Ile d’Orléans
DÉCÈS : 25 juillet 1727 à St-Laurent , Ile d’Orléans
MARIAGE : 16 mars 1680 à St-Paul, Ile d’Orléans
DÉCÈS : 25 juillet 1727 à St-Laurent , Ile d’Orléans
Par convention, la première génération est attribuée à l'ancêtre qui a été le premier à
s'établir en Nouvelle-France.15
Jacques Bouffard s'aventurait au Canada vers 1676. La première trace que nous
trouvons est dans un acte notarié passé devant Gilles Rageot à Québec le 7 nov. 1678.
Il se fait concéder une terre de la paroisse de St-Paul dans le comte St-Laurent
aujourd'hui St-Laurent C'est sur cette terre qu'il passera sa vie ( ref: Dictionnaire National
des Canadiens Francais, Institut Drouin) Fait a noter: il signait d'une belle écriture Jacq
Bouffard.
JACQUES BOUFFARD, le puisné, frère cadet de Martin Bouffard. Il est né en 1655, presque
12 ans après son frère Nicolas. 16
J’essaie de retracer l’arrivée des premiers Bouffard au Québec. Les bateaux et leur équipage,
une source de renseignements mais malheureusement, je ne trouve pas de trace de
Jacques.
Nos ancêtres, avec leur esprit d’aventure, Se pourrait-il? Que Jacques est échangé son nom avec quelqu’un qui embarquait sur un bateau en direction de la Nouvelle France.
J'ai retracé un certain Jean Beaufort, soldat du régime de Carignan arrivée sur La Fredière en 1677. Se pourrait-il que se soit Jacques Bouffard. Autre fait, il est âgé de 17 ans, pouvait-il quitter à cet époque? D'ou le fait que Jean Beaufort serait effectivement Jacques Boufart.
Je vous relate l’événement raconté par Jean d’Ormesson de l ’Académie Française, dans son livre « Une fête en larmes « qui pourrait justifier mon hypothèse:
Nos ancêtres, avec leur esprit d’aventure, Se pourrait-il? Que Jacques est échangé son nom avec quelqu’un qui embarquait sur un bateau en direction de la Nouvelle France.
J'ai retracé un certain Jean Beaufort, soldat du régime de Carignan arrivée sur La Fredière en 1677. Se pourrait-il que se soit Jacques Bouffard. Autre fait, il est âgé de 17 ans, pouvait-il quitter à cet époque? D'ou le fait que Jean Beaufort serait effectivement Jacques Boufart.
Je vous relate l’événement raconté par Jean d’Ormesson de l ’Académie Française, dans son livre « Une fête en larmes « qui pourrait justifier mon hypothèse:
Qu’un jour à la suite d’une beuverie le lieutenant Esclapez devint le capitaine Sombreuil et le capitaine Sombreuil devint le
lieutenant Esclapez. Parce que le premier ne voulait pas aller à La GUERRE et que le capitaine courrait après la guerre , nous
sommes en 1945, lui qui devait rester à terre pour former les hommes. Une légende pour la France que cet homme le capitaine
Sombreuil devenu Caporal Sombreuil nous dit-il.
Il ne fait aucun doute, qu’il fut attiré sur nos rives par son frère. Arrivé au pays en 1677, le
16 avril, il est parrain de Jacques Guanet à Sainte- Famille de l’Ile d’orléans tel que noté par
Michel Langlois, il est alors âgé de 22 ans.
Jacques fait l’acquisition le 8 novembre 1678, devant le notaire Duquet, d’une terre de trois
arpents de front appartenant à Jean Paulin, cette terre porte le no 55 de la paroisse de St-Paul
( ancien nom de st-Laurent), l’arrière fief du Mesnu. Ses origines bourgeoises lui évite ce qui
suit :
« A l’époque le nouvel arrivant est lié par un contrat conclu en France, ce colon est attendu sur le quai de Québec
par son engagiste. Dans la seigneurie où il s’établit, le titulaire du fief lui concède une terre, d’abord sur une simple
promesse, écrite ou verbale. L’acte formel de concession suivra, assez tôt si le travail avance de façon satisfaisante
mais surtout quand le seigneur aura un notaire disponible. »
Cette terre ne lui est pas cédée en pur don , elle est concédée, c’est-a-dire qu’il n’en est pas pleinement
propriétaire, le titulaire du fief conservant un droit éminent de propriété , droit qui s’exprime par le cens, impôt
symbolique ( d’ou le nom de censitaire appliqué à l’occupant de la terre), et surtout par la rente foncière non
rachetable qu’il doit acquitter chaque année.
De façon générale, le nouveau concessionnaire est à pied d’œuvre, à moins que son service d’engagé lui ait laissé quelque loisir pour travailler sa terre. Son premier travail d’installation est un défrichement d’une dureté
particulière; abattre le bois debout, arracher les souches, brûler les branchages, épierrer le terrain. Travail lent,
on a calculé qu’à un colon qui est seul il lui faut un an pour défricher et rendre propre à la culture une superficie
d’un arpent et demi.
« Dans certaines seigneuries en 1663, le cens est de 2 deniers par concession, dans d’autres , de 12 deniers par
arpent de front ou de 3 deniers par arpents de superficie, mais souvent on en est dispensé les premières années de
l’exploitation. À quoi s’ajoutent , chaque fois qu’,une terre est vendue, la taxe de lods et ventes ( le douzième du prix
de la terre ,à payer à l’acquéreur). »(22)
L’acte de vente ayant été perdu, les deux contractants en font écrire un nouveau par le notaire
Genaple, le 27 octobre 1693. On y apprend q’il a payé cette terre 40 livres et qu’il s’est engagé
envers le vendeur à défrayer le coût d’une rente de 27 livres et 10 sols à Charles Aubert de la
Chesnaye. il a pour voisins François Noël et François Gausselin.
Il s’agit ici du même Aubert de la Chenaye , armateur et propriétaire du navire Le St-
Jean_Baptiste au bord duquel Martin Bouffard serait arrivé en 1665.
Cet ancêtre signait avec paraphe et de bell écriture. Sa signature se retrouve à la fin de son
contrat officiel de concession de 1693. Fils de bourgeois, Il continue de vivre bourgeoisement.
« D’ailleurs au Canada, entre noble et bourgeois , la ressemblance est forte. Les nobles ne pouvant vivre «
noblement » ( c.a.d. du seul revenu de leurs terres) , ils vivent comme les bourgeois : les uns et les autres se livrent
à la même occupation du commerce, ils exercent les mêmes professions, ont le même train de vie, les mêmes
problèmes »2
Son mariage en 1680 avec Anne Leclerc a enrichi les biens de la communauté et lui a permis
de déclarer au recensement de 1681, qu’il possède : 3 bêtes à cornes et 5 arpents de culture,
une maison, une étable et quelques instruments oratoires. Leurs voisins se nomment Claude
Salois et François Salois.
1.3 copie des contrats et certificats de naissance,décès et mariage.
1664- certificat de naissance de Anne Leclerc
1680- notaire Vachon – contrat de mariage de Jacques Bouffard et Anne Leclerc
1680- certificat de mariage de Jacques Bouffard et Anne Leclerc
1681- RECENSEMENT
1690-quittance de Marie Blanquet
1693-notaire Genaple- contrat d’acquisition d’une terre par Jacques Bouffard
1699- certificat de décès de Anne Leclerc
1703- contrat de vente à Adrien Leclerc
1709- inventaire des biens Anne Leclerc
1725-RECENSEMENT
1726- notaire Pichet- donation de Jacques à son fils François
1727- certificat de décès de Jacques Bouffard
1664- certificat de naissance de Anne Leclerc
1680- notaire Vachon – contrat de mariage de Jacques Bouffard et Anne Leclerc
1680- certificat de mariage de Jacques Bouffard et Anne Leclerc
1681- RECENSEMENT
1690-quittance de Marie Blanquet
1693-notaire Genaple- contrat d’acquisition d’une terre par Jacques Bouffard
1699- certificat de décès de Anne Leclerc
1703- contrat de vente à Adrien Leclerc
1709- inventaire des biens Anne Leclerc
1725-RECENSEMENT
1726- notaire Pichet- donation de Jacques à son fils François
1727- certificat de décès de Jacques Bouffard
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